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il y a 4 ans
— Bon les gars vous êtes bien gentils, mais si vous pensiez à mon petit cadeau avant d’aller plus loin !
La bouche d’Antoine se décolla du cou de la gonzesse et ma queue prit un coup de mou. Échange de regards éberlués
— Quel petit cadeau, questionna Antoine.
— Attends, chéri, tu crois pas que je vous ai suivis pour vos beaux yeux !
— Et c’est combien ton petit cadeau ? demandai-je par pure curiosité.
— 200 euros.
Deux cents euros, elle ne se mouchait pas du coude la pétasse. Elle avait 40 ans bien tassés. De belles jambes gainées de soie, de grosses loches, m’enfin c’était pas Marylin. Elle avait passé le cap des 100 000 depuis longtemps. Surtout qu’elle continuait :
— 200 euros chacun bien sûr… mais pour toute la nuit et pour tout ce que vous voulez. J’suis open comm’ i disent chez Orange.
Une pute ! On avait levé, une prostipute. J’aurais dû m’en douter ça avait été trop facile. Je ne bandais plus du tout. Nouvel échange de regards avec mon collègue.
— Tu penses comme moi ?
— Exactement la même chose lui, répondis-je. J’ai jamais payé pour baiser, c’est pas aujourd’hui que je vais commencer.
— Madame, on ne vous retient pas, reprit Antoine en lui ouvrant la porte de sa chambre.
— Pauvres types ! Vous avez vu vos gueules ? Vous espériez quoi ? ragea la belle de nuit en s’emparant de sa cape.
Elle partit furieuse en lâchant encore quelques noms d’oiseaux pour faire bon poids.
— Qu’est-ce qu’elle a ma gueule, déclama Antoine, avec un rire f o r c é , une fois la porte refermée.
Elle n’avait rien sa gueule ! À mon goût, il était plutôt beau mec. Quoique mec moi-même, je n’étais peut-être pas bon juge. Il me rendait une bonne tête, un visage viril et avenant, un corps bien entretenu, ventre plat sans un gramme de trop. À 55 ans, ses courts cheveux gris, sa calvitie naissante lui donnait un charme fou. Si j’avais été une gonzesse…
Je n’avais pas son charme, mais je ne me trouvais pas si mal que ça. Selon mon épouse (d’accord, elle n’était pas objective), j’avais des yeux absolument irrésistibles. Il me manquait quelques centimètres, mais j’étais plutôt bien proportionné. De plus, dans mes longs cheveux blonds, les fils blancs ne se voyaient pas.
— On va pas se laisser aller.
Je le sentais un peu vexé malgré tout. Le mâle alpha n’avait pas apprécié que la donzelle ait cédé à l’attrait de son portefeuille plutôt qu’à celui de son charme. Il ouvrit nerveusement la porte du minibar et se saisit de deux mignonnettes de whisky. Nos mini bouteilles en mains, nous nous écroulâmes tous les deux, sur son lit, cédant à une hilarité de circonstance masquant notre déconfiture.
Comment en étions-nous arrivés là ? Un petit retour en arrière s’imposait. Je travaillais depuis plusieurs années en tant que cadre dans une entreprise informatique. J’arrivais à un âge, à l’approche de la cinquantaine, où on vous montre facilement la porte. Et ma boîte employait deux jeunes loups qui m’auraient volontiers mis au placard. Aussi quand mon patron, enfin ma patronne, quoique plus mec qu’elle tu meurs. Donc ma patronne se pointa pour demander qui voulait se rendre au séminaire de mise à niveau organisé par un de nos fournisseurs.
Je me gondolai à l’intérieur anticipant sur l’attitude belliqueuse de mes deux jeunes collègues qui allaient se bouffer le foie pour être celui qui… mais ils commencèrent à ergoter que les vacances, leurs gonzesses, les gamins… Je saisis ma chance au bond et je me proposai. Ma patronne, n’étant pas du style à perdre son temps avec ce genre de détail, ratifia immédiatement ma candidature. Voilà pourquoi par un beau matin d’avril, je débarquai au palais des congrès de Gifle Pasyvette.
Même impression d’anachronisme ressentie lors de mon dernier concert de heavy metal où des jeunots m’avaient demandé si j’appartenais à l’organisation. L’ancêtre se retrouvant perdu au milieu d’une vingtaine d’énergumènes à peine trentenaire. Un seul quinqua : Antoine.
C’est donc tout naturellement que nous sympathisâmes. Il avait deux ou trois ans de plus que moi. En clair, il entrait dans la tranche de la cinquantaine qui vous pousse vers le troisième âge. Le fait que nous vivions tous les deux en Rhône-Alpes, lui dans le Rhône, moi dans la Loire, nous rapprocha encore un peu plus. Les journées passaient rapidement, les activités et conférences proposées intéressaient tout le monde. Les mecs étaient plutôt agréables même si nous n’avions pas grand-chose en commun. Les quelques gonzesses, dont certaines très excitantes (toutes les geekettes ne sont pas des thons) nous regardaient comme si nous étions de vieux étrons dénaturant leur paysage.
Par contre les soirées… Toute cette jeunesse se retrouvait autour des jeux en réseau et autre amusement vidéo qui nous gonflaient sérieusement, Antoine et moi. Nous passâmes le lundi et le mardi soir au bar de l’hôtel à siroter et à parler de nos parcours respectifs. Le mercredi soir, nous avions fait le tour de la question. Antoine, qui se révélait le leader de notre duo, m’entraîna au Tropinard Babar, une boîte de nuit soi-disant branchée.
Branchée, elle avait dû l’être…. dans les années 80. La population qui la fréquentait dépassait allégrement la quarantaine. Et c’est ainsi que nous, enfin quand je dis nous, c’est surtout Antoine et son bagout, avons levé Hélèna.
Jolie femme dans la quarantaine, bien mise, sexy avec ce qu’il fallait où il fallait. Après deux ou trois danses, elle s’installa à notre table. Et de fil en aiguille, plutôt de frottements en passage de mains, nous commençâmes à flirter outrageusement… à trois. Suite logique pour Antoine, inespérée pour moi, elle accepta de nous suivre à notre hôtel pour passer à des jeux plus sérieux. C’est ainsi que nous nous retrouvâmes dans la chambre d’Antoine et que nous découvrîmes, un peu tard, que la donzelle était plus intéressée par notre bourse que par nos bourses.
Alors qu’il sirotait sa mignonnette, Antoine lâcha :
— Putain, elle m’a échauffé le zigomar à tête chercheuse, la gueuse. Regarde !
Il ne mentait pas, son futal ne parvenait pas à dissimuler son érection. Sur ce que je pouvais voir, y’avait du monde à l’intérieur.
— Elle m’a mis une de ces triques, cette salope! Il est aussi dur qu’un bâton de berger. Touche, tu vas voir.
Joignant le geste à la parole, il avait agrippé mon poignet et avait posé ma main sur sa braguette.
— En effet tu bandes comme un âne !
Après ce commentaire flatteur, j’aurais dû, et c’est sans doute ce que j’aurais fait en des circonstances normales, retirer ma main. Mais que nenni, l’alcool ingurgité durant cette soirée avait altéré mes perceptions. Je laissais ma paume sur son paquet, immobile. Paradoxalement, cette masse rigide palpitant sous mes doigts m’excitait. J’avais la gorge sèche, l’estomac noué, mais aucune réaction érectile. Pourtant…
— J’aime bien ta main.
Ces mots avaient été prononcés d’une voix vacillante, hésitante. Le trouble d’un interdit, l’incrédulité aussi sans doute.
— Caresse-moi, s’il te plaît… enfin si tu veux.
Ce ton ! Mix d’ordre, de prière, d’envie. Je réagis comme si j’avais attendu ces paroles. Timidement mes doigts dessinèrent les contours de son vit, du bout de la hampe jusqu’à la naissance des couilles. Sa position assise ne permettait pas d’approfondir ma connaissance des lieux. Conscient du fait, Antoine ouvrit largement ses jambes.
Je la caressais comme je caressais la mienne lorsque j’étais à la recherche d’un plaisir solitaire. Quand cette pensée me traversa, je pris conscience que le morceau de viande tumescent que j’avais en main devait être un sacré morceau. Dame nature m’avait doté correctement. Du moins mes quelques conquêtes féminines ne s’étaient jamais plaintes. Mais ma bite n’était pas du même format que celle que j’apprivoisais en d’habiles va-et-vient.
— Putain, c’est bon ! soupira mon petit camarade ! Attends faut que je la libère sinon elle va étouffer.
D’une main impatiente, il dégrafa son élégant pantalon de lin qui déformé par sa bandaison ne ressemblait plus à grand-chose. Tandis qu’il le faisait glisser le long de ses jambes poilues, je dégageai sa bite grandiose de son caleçon qui l’était moins, taché qu’il était de ses premières sécrétions.
La bête se dressait, émergeant fièrement d’une toison poivre et sel des plus broussailleuses. Je m’en emparai fiévreusement pendant qu’il gigotait pour se dépêtrer de ses godasses et de ses fringues. J’étais excité comme une puce en manque, pourtant je ne bandais pas. Enfin pas du bas ! Par contre, l’étoffe synthétique de ma chemise irritait mes tétons tendus par le désir.
J’aurais souhaité sentir ses mains s’y poser, mais débarrassé de ses vêtements, il s’allongea en travers du lit, jambes ouvertes. Ma main droite malaxait ses boules contractées. Pendant que ma main gauche le masturbait lentement, j’admirais sa queue. Peu importe le diamètre et le nombre de cm, ce qui était sur : elle était longue et vraiment épaisse. Mon pouce et mon index, en anneau, ne parvenaient pas à se toucher.
Mon lent coulissage semblait lui plaire, son souffle s’accélérait, sa voix s’altérait :
— Tu sais mon petit Luis, tu me ramènes des années en arrière ! Que dis-je, des décennies. Oui comme ça, décalotte-moi bien. À l’époque de mon a d o l e s c e n c e , quand on se retrouvait avec mon pote Jacky dans la resserre de son grand-père. Hum ton doigt sur mon gland ! Mouille-le ce sera mieux !
Je m’exécutai et salivai abondamment sur mon index et mon majeur. Je les ramenai sur sa tête de nœud, énorme v i o l acée. Du bout de mes doigts lubrifiés, j’effectuai des cercles concentriques autour de son méat tandis qu’il continuait :
— Il adorait s’amuser avec ma bite. Je me rappelle toujours ses branles maladroites. Il a été le premier à me faire cracher. Mais tu es nettement plus doué que lui. On dirait que tu as fait ça toute ta vie.
— Et non tu es le premier ! Quand j’étais ado, je me consacrais aux filles, plaisantai-je.
Pourtant il avait raison, j’avais l’impression d’avoir fait ça toute ma vie. Je ne me posais pas de question métaphysique, style : mais qu’est-ce qui m’arrive ? Moi, caresser un homme. Non, j’étais tout à mon plaisir, tout à son plaisir.
— Moi aussi ! Qu’est-ce que tu crois, je suis pas pédé ! À 12 ans c’était de la découverte. Et puis c’est lui qui me caressait. Par contre ce petit con n’a jamais voulu me sucer. Il disait que c’était un truc de gonzesse.
Je considérai cette réflexion comme une invite. Mes lèvres se posèrent sur son gland découvert. Je lapai avec délice, le corps parcouru de frissons extatiques, les premières gouttes sourdant de sa tige.
— Putain, j’y crois pas. Tu vas vraiment me sucer ?
Comme j’avais la bouche collée à sa queue, je ne voyais pas l’intérêt de lui répondre. Je la léchai amoureusement sur toute sa longueur, et Dieu sait si elle était longue. Je m’attaquai ensuite à ses boules poilues contractées de désir. Je les gobai l’une après l’autre pendant que mes mains s’occupaient toujours de sa hampe. Le traitement devait lui convenir, car, s’il s’était tu, sa queue semblait encore gonfler et tressautait sous mes attouchements.
Un doigt s’introduisit hardiment entre ses fesses. La contraction de celles-ci refoula mon index. OK, monsieur n‘avait pas envie que je me consacre à son anus. Je retournai donc au massage de ses testicules frémissants. Une poussée de son gland contre mes lèvres me signifia ses désirs.
J’avais une grande bouche, mais la grosseur de son nœud m’effrayait. Et à juste titre. J’eus beaucoup de mal à l’absorber. Mes lèvres se tendaient à craquer. Mais quelle sensation ! J’en avais l’anus qui frémissait. Je salivais un maximum pour permettre à cette bite monstrueuse de me pénétrer. Quand son méat heurta ma luette, je n’avais pas avalé la moitié de cette hampe. J’entamai une série de va-et-vient d’abord très lents afin d’habituer ma bouche puis, progressivement, j’accélérai.
Abandonnant sa passivité, Antoine avait glissé une main entre mon fut’ et ma peau. Il me malaxait les fesses, lançant un doigt en exploration, il appuya sur ma rosette. Contrairement à lui, je ne me contractai pas ! Au contraire, j’avais envie que ses doigts me…
Il rythmait mon pompage par une litanie hautement intellectuelle :
— Nom de Dieu que c’est bon ! Ouuui ! Continue ! Vingt dieux, tu suces mieux que ma femme ! Ta langue… Arrête ! Encore ! Oui, mouille bien ! Ben mon cochon, si j’avais pensé.
Sa main, le ton de sa voix plus que ses mots me mettaient dans un état pas croyable. J’étais sa gonzesse ! Je mouillais. Si, si ! Ma bite toute molle bavait un cyprine brûlante. Je tortillais du cul pour que son doigt f o r c e mon œillet. Lui tout à son plaisir n’en avait cure.
Soudain sa bite tressauta et j’en pris plein la bouche. Aucun dégoût, aucune envie de recul, j’avalai son foutre sans hésitation. Foutre si abondant qu’il déborda, coulant aux commissures de mes lèvres, dégoulinant sur mon menton. Quel goût, il avait ? Aucune idée. Juste le souvenir extatique de cette substance glaireuse qui me remplissait la gorge. J’éprouvai une jouissance peu commune, uniquement cérébrale, mais très intense.
Lorsque je l’eus bu jusqu’à la dernière goutte, j’abandonnai sa bite. Cédant à une envie irrépressible, je cherchai ses lèvres et l’embrassai à pleine bouche. Il répondit à mon baiser, goûta à son foutre qui maculait mes joues. Naturellement, il porta sa main entre mes cuisses, palpant mon service trois-pièces. Je sentis son étonnement quand il constata sa mollesse.
Il se redressa, ouvrit mon futal :
— T’as pas joui ! T’es excité comme une puce et tu ne bandes pas ?
La réplique fusa instantanément. J’eus l’impression que ce n’était pas moi qui parlais.
— T’as déjà vu une femelle bander ?
— Ben le clito de Denise bande plus dur que ta bite ma chérie, ricana-t-il. Mais si t’es une femelle, tu dois bander ailleurs. Ôte ta chemise.
Je m’exécutai.
— Regardez-moi ces tétons. Des vrais tétons de gonzesse ! Et durs avec ça.
Il les avait saisis entre ses gros doigts sans précaution inutile et les pinçait. Je ne pus retenir un gémissement.
— Mais c’est que tu aimes ça !
C’est vrai que j’aimais ça. Nous n’avions aucune relation sado-maso avec Nadine, ma femme, mais elle me faisait régulièrement les bouts. Parfois même, si elle se montrait suffisamment dure, j’en jouissais… mais en ayant eu une érection normale.
Antoine tirait sur mes tétons, les tordait, les pressait déclenchant mes soupirs plaisir/souffrance. Je le suppliai d’une voix que je ne connaissais pas :
— Oui ! Encore ! C’est ça ! Écrase-les ! t o r t u r e -les ! Ne sois pas timide ! Fais-moi mal, Antoine, Antoine, Antoine! Envole-moi au ciel… zoum!
Il se prenait au jeu. Il ne se retenait plus. Il me travaillait les tétons avec une v i o l ence que Nadine n’avait jamais atteinte. Je pleurais de douleur, mais je ressentais un plaisir inédit. Je jouis de nouveau, mais cette fois celle-ci se matérialisa.
— Oh la salope ! Tu coules comme une gonzesse.
Il avait raison, je n’éjaculais pas, comme un vrai mâle, en de puissants jets, mais mon sperme s’écoulait mollement de ma pine : je mouillais comme un grande.
— Eh ben toi alors ! Tu me la coupes !
Il n’employait pas la bonne expression, car ce dernier épisode avait rendu à son mandrin sa taille imposante et une rigidité de bonne augure.
— Tu ne me feras pas croire que c’est la première fois que tu joues les gonzesses.
Je lui affirmai que non seulement c’était la première fois, mais que ça n’avait jamais habité mes fantasmes. Il m’avoua plus tard qu’il n’avait pas cru un mot de mes assertions. Mon comportement féminin lui avait donné des idées. Il alla à la salle de bain, revint avec une crème hydratante. Il me tendit le tube.
— Pendant que je vais m’occuper de tes nénés, tu vas te préparer le vagin. J’ai jamais brouté le cul d’un mec et c’est pas aujourd’hui que je vais commencer.
Il m’installa confortablement, un oreiller sous les reins. Alors qu’il continuait à me martyriser délicieusement les mamelons, je barbouillai mon vagin de crème. J’enfonçai, tour à tour, l’index et le majeur puis les deux préparant le passage pour cette bite que je trouvais monstrueuse. À dire vrai, j’avais la trouille, je ne voyais pas comment un tel engin allait pouvoir me pénétrer sans m’exploser l’anus. Nadine avait déjà visité mon intérieur, mais de ses doigts fuselés et délicats.
L’alcool, ma jouissance précédente, ses doigts sur mes tétons annihilaient cette peur et quelque part , j’attendais avec impatience son nœud imposant appuyer sur ma rondelle. Ce qui ne tarda pas d’arriver.
— Alors tu es prête ma petite chérie ? Ta chatte est bien lubrifiée ?
Sa petite chérie mesurait 172 cm, pesait 72 kg, avait une bite (d’accord tout à fait molle) entre les cuisses, mais ça n’avait pas l’air de le gêner.
Antoine voulait me baiser comme une nana, je n’allais pas le décevoir. J’agrippai mes cuisses derrière les genoux et ramenai mes jambes contre ma poitrine. Je lui offrais un accès direct à ma féminité . Son gland v i o l acé pesa sur mon anus entrouvert. Malgré l’envie qui me tenait, je ne pus empêcher une contraction de crainte. Antoine le sentit.
— Ne t’en fais pas ma chérie ! Je sais être très doux. Je veux que tu aies autant de plaisir que moi. Fais-moi confiance.
Sourire intérieur. Rappel de la première fois où j’avais sodomisé Nadine. Je lui avais tenu un discours semblable. Et le résultat avait été satisfaisant pour les deux.
À cette seconde précise, il n’était pas question de Nadine, c’était mon cul qui allait être inauguré. Antoine poussait lentement sans cesser de jouer avec mes tétons. Mon œillet s’ouvrait doucement. Sans à-coups, mais sûrement, son pénis tendu traçait sa route entre mes fesses.
Un bref instant de souffrance lorsque son gland f o r ç a le passage. Souffrance vite remplacée par le plaisir de sentir mon anus se resserrer autour de sa hampe. Toujours en douceur, il m’embrocha jusqu’à la garde. Montée d’adrénaline quand ses couilles touchèrent mes fesses. Brièvement, je visualisai sa tige raide dans mes sphincters. Émerveillement d’accueillir aussi facilement cet énorme pieu. Prodige de l’élasticité du corps humain.
S’aidant de ses avant-bras, sans lâcher mes seins, il m’écartela pour s’enfoncer encore plus profondément. Son but atteint, il chercha ma bouche. Baiser passionné. J’étais sa gonzesse, je me soumettais à ses envies. Il malaxait ma poitrine. Sa queue, imperceptiblement, se mettait en mouvement. Accélération progressive. Massage de prostate, un délice. Jamais rien ressenti de tel. Le moelleux d’une bite n’a rien à voir avec la « non-vie » d’un gode ou la rigidité de doigts.
Son bâton coulissait de plus en plus rapidement. Ses paumes plaquées contre ma gorge, ses ongles pinçant spasmodiquement mes pointes. Sa queue à chaque tour sortait maintenant complètement de mon vagin pour s’y réengouffrer immédiatement. Ma rondelle distendue n’avait pas le temps de se refermer.
Délire complet. Ma cyprine coulait, coulait sur mon ventre agité de tremblements incoercibles. Je jouissais sans discontinuer dans un feulement ininterrompu que sa bouche plaquée à la mienne ne parvenait à empêcher. Je ne sentais plus mon corps, je ne sentais que sa bite qui ramonait vigoureusement mes entrailles. Bite qui remplissait mon intérieur. Bite qui palpitait. Bite qui soudain parut exploser. Sensation extraordinaire des parois de mes intestins se tapissant de son foutre gluant. Flash. Jouissance ultime. Putain, que c’était bon.
Retour au calme. Bite qui se ramollit, se racornit, s’éjectait doucettement de mon nid poisseux. Mon génial t o r t i o n n a i r e se laissa aller sur moi. Ma cyprine maculait son ventre collé au mien. Stoppant son baiser fougueux, la bouche en cœur, il s’enquit :
— Tu as aimé ma chérie.
Son intonation et sa mine dénotaient plus une affirmation qu’une question. Il est vrai que mes réactions ne laissaient guère de doute.
— Aimé, le mot est faible ! C’était génial.
— Pour moi aussi ! Tu te rends compte à côté de quoi on est passé jusqu’à là !
Une bonne douche et deux whiskys plus tard, nous avions décidé de ne pas nous en tenir là. Et nous tînmes parole. Nous passâmes les deux dernières nuits à baiser jusqu’à plus soif. Enfin jusqu’à plus soif pour moi, car il ne dérogea jamais de son rôle de mâle. Dans notre couple , j’étais la femelle. Si Antoine daignait me caresser la verge, jamais il ne me suça. D’ailleurs, je n’en avais aucune envie.
La logique et le bon sens auraient voulu que notre aventure s’arrêtât avec la fin du séminaire. Sauf que…
La logique et le bon sens auraient voulu que notre aventure s’arrêtât avec la fin du séminaire. Sauf que, au-delà de notre aventure sexuelle transgressive, une amitié était née. Même philosophie de la vie, passions communes, nous nous entendions merveilleusement bien. Cerise sur le gâteau : nos femmes, Nadine et Denise, dès la première rencontre, s’étaient bien accordées. Avec Antoine, nous nous découvrîmes une passion commune pour le tarot, ce qui nous donna une bonne excuse pour nous rencontrer le vendredi soir. Nous prîmes nos habitudes dans un hôtel à mi-chemin entre Lyon et Sté. Au fil des semaines, je devenais de plus en plus la « petite salope » à son mâle. Et mon mâle ne manquait ni de ressources ni d’imagination.
En parallèle, notre relation amicale couple à couple se renf o r ç a i t . Il n’était pas rare que nous passions le week-end chez l’un ou l’autre. Aussi lorsqu’Antoine nous proposa de partager le gîte qu’ils avaient loué dans l’arrière-pays niçois pour début septembre, nous acceptâmes immédiatement. Les deux premiers jours se déroulèrent très agréablement, mais, le lundi, je sentais bien la frustration d’Antoine. Nos chambres avaient une cloison commune, et si comme il me l’avait avoué avec Denise c’était devenu très alimentaire, Nadine et moi nous nous envoyions en l’air régulièrement. Or le dimanche soir, nous avions fêté les vacances et Nadine a la jouissance bruyante et descriptive. Aucun doute, la chambre à côté avait profité de son commentaire sportif.
Aussi, quand le mardi matin, Denise proposa à Nadine d’aller passer la matinée à Nice entre filles, je m’empressai de l’encourager d’accepter. Antoine renchérit disant que ça nous permettrait d’avoir une activité plus sportive. En entendant ses paroles, j’en avais des titillements dans le bas-ventre. Sa queue me manquait.
La voiture de nos femmes à peine disparue, Antoine m’agrippait par les cheveux et amenait mon visage à la hauteur de son maillot de bain. Un moule-bite déjà déformé par une bandaison naissante. Incontestablement, ma bouche aussi lui manquait. Je plaçai comme c’était devenu l’usage, mes mains derrière mon dos. Je commençai à lutiner son mandrin à travers le lycra. En apéritif, je léchai longuement, sur tous les angles possibles, la bête qui ne cessait de grossir. La pauvre se sentait de plus en plus à l’étroit. Pour ne pas qu’elle s’étouffe, je pris le haut du maillot entre mes dents et le tirai à moi. Soudain la bite se dégagea de sa gangue. Dans un élan libérateur, elle se redressa fièrement arrivant à la hauteur du nombril.
Je lâchai l’élastique qui, claquant contre la peau tendue, emprisonna de nouveau le sexe bandé. Seul dépassait le gland décalotté. Je le couvris de baisers puis vint l’heure de la mise en bouche. Opération rendue difficile, car il était plaqué contre le ventre. Antoine vint à ma rescousse, en descendant suffisamment son slip. Je pris son nœud entre mes lèvres. Avec l’expérience, je n’avais plus aucun mal à l’absorber. Je parvins sans difficulté, une fois gobée, à tourner autour avec ma langue.
Dans une geste tendre, Antoine passa une main derrière ma tête, exerça une ferme poussée sur ma nuque. Il stoppa lorsque j’eus totalement englouti son vit. Son gros dard maintenant allait facilement au-delà de ma luette. Il me maintint ainsi mes lèvres collées à son pubis. Je sentais ma bave qui dégoulinait, tombant à grosses gouttes sur ma poitrine.
— Tu aimes ça ma petite chérie que ton homme te remplisse.
J’étais à deux doigts d’étouffer, mais oui, j’aimais ça. Lui aussi. Denise n’avait jamais accepté de gorge profonde ( vu la taille de l’engin et celle de sa bouche, je la comprenais). Il relâcha la pression, sortit sa bite. Une quinte de toux me libéra des miasmes qui m’obstruaient la gorge. Mon souffle retrouvé, je voulus me remettre à l’ouvrage. Il m’en empêcha et remonta son canosse, dissimulant à ma vue l’objet de mon désir.
— Ne sois pas trop pressé, ma petite gourmande. Nous avons le temps et j’ai d’autres projets pour nous.
Il m’aida à me relever, me roula une pelle.
— Enlève ton maillot !
Je m’exécutai. Il joua un instant avec ma bite dont le volume avait augmenté, mais qui restait molle malgré ses caresses. Il se recula, matant mon sexe lisse.
— Je t’adore comme cela ma petite cochonne.
Depuis peu, il avait souhaité/exigé que je m’épile les parties génitales, les fesses et, évidemment mon anus. Pour justifier cette nouveauté, j’avais expliqué à Nadine que je trouvais ça très sexy. Le plus drôle : elle m’avait avoué qu’elle en rêvait, mais qu’elle n’avait jamais osé me le demander par peur d’agresser ma virilité. Elle trouva très cool de ne plus bouffer mes poils quand elle me suçait ou me léchait la rosette. Ma femme a un langage très châtié ! Mieux, elle se chargea ensuite de la partie épilation et me demanda si j’étais tenté par une épilation définitive. Quand je racontais ça à Antoine, il a eu un sourire que je n’ai pu identifier.
Il me prit par la bite et m’entraîna dans leur chambre. Il farfouilla dans une valise que j’identifiai, au contenu, comme celle de Denise.
— J’ai eu toutes les peines du monde à lui faire prendre ça ! dit-il en sortant un string noir, suivi d’une jupe en cuir, d’un petit haut ajouré noir également.
J’écarquillai les yeux en voyant ces fringues. Je n’étais pas plus étonné que ça, car à plusieurs reprises Antoine avait souligné comme il aimait mon côté féminin. Il m’avait même plusieurs fois demandé de marcher en tortillant le cul. Ce qui provoquait selon lui un déhanchement charmant. Il s’accroupit et récupéra un sac sous le lit. Il en tira un carton à chaussures et un étui contenant des bas.
— J’ai été obligé de faire quelques achats. Denise chausse du 38 alors avec ton 42 fillette, ça allait pas le faire. Quant au bas, ma bonne femme n’a que des collants. Allez, habille-toi ma chérie.
Aucune hésitation, je m’assis sur le lit et enfilai maladroitement les bas. Puis, je mis le string. Je fis deux tours sur moi-même pour lui faire admirer. Appuyé à la cloison, il caressait doucement sa queue bandée. Sous son regard attentif, je passai le haut puis la jupe. Le premier m’allait parfaitement épousant mes seins aux tétons dardés. Le second par contre…
— Désolée ma chérie ! Denise a vraiment un gros cul. Tu flottes là-dedans.
— Permets-moi de te contredire, ta femme a un cul canon et des cuisses…
— T’aurais pas envie de te la faire, ma cochonne ?
— Si on se trouvait coincés ensemble, c’est sûr que j’irais pas coucher dans la salle de bain.
— Coincée, c’est elle qui l’est…
— Parce que tu n’as peut-être pas fait ce qu’il fallait, chou.
— Dis tout de suite que je suis pas doué.
Monsieur mon amant était vexé ! Qu’on mette en doute ses talents de baiseur ! Il changea de sujet.
— Enfile les chaussures ! J’ai pas pris de soutif. T’as vraiment pas de quoi les remplir. Et je ne ferai pas de commentaires sur la disproportion avec les seins de Denise. J’suis sûr que tu vas me dire que tu les aimes.
— J’aurais du mal à dire le contraire : elle a une poitrine magnifique !
— Ouais ! Marche voir comme une salope que tu es !
Pas évident de marcher avec ces escarpins. Heureusement, Antoine avait été raisonnable. La hauteur des talons n’excédait pas 5 cm. Mais déjà….
Pendant que je faisais des 8 avec mon cul à la grande satisfaction de mon amant qui se paluchait avec vigueur, je pensais à sa nana. Il m’avait expliqué qu’au pieu, elle était réceptive, mais n’appréciait guère les variations et était chiche de ses ébats. En clair, il baisait à la papa et pas trop souvent. Pourtant Denise était bandante. J’avais eu l’occasion ces derniers jours de le constater alors qu’elle et Nadine faisaient du bronzing dans des tenues minimalistes. Aussi mignonne l’une que l’autre, mais physiquement aux antipodes.
Nadine plutôt dans le style androgyne : petit cul, petits seins, cheveux courts, en un mot garçonne. Denise, au contraire voluptueuse, avec ce qu’il fallait où il fallait : un joli cul massif, des hanches bien marquées, des seins en adéquation avec ses formes et pas une once de graisse, un centimètre carré de cellulite. En les rencontrant, le quidam lambda aurait parié que la plus « chaude » des deux était Denise. Comme quoi !
J’avais décroché, je marchais au radar. Antoine, ou plutôt ses mains baladeuses me ramenèrent à la réalité.
— Tu es bandante, chérie.
Vu la taille et la raideur de son mandrin, il ne faisait qu’énoncer une évidence. Pendant mon exhib’, son maillot de bain avait disparu des écrans.
— Il faudra penser à t’acheter une perruque et à te débarrasser de ces poils disgracieux.
— Et j’explique ça comment à Nadine ?
— Ça, c’est ton problème bébé !
— Et tes poils de couilles entre mes dents, tu comptes faire quoi ?
— Rien, c’est moi l’homme.
Il appuya son affirmation en m’attirant à lui. Après m’avoir roulé une pelle, tout en pelotant mes fesses à travers le cuir, il me retourna, releva la jupe et pressa sa bite contre ma raie. Ses mains s’étaient insinuées sous le petit haut. Du bout des doigts, il s’en prenait à mes tétons. L’expérience lui avait appris que c’était mon point faible. Un jour il m’avait dit : « - Il y en a qu’on mène par le bout du nez, toi c’est par le bout des seins ». Il n’avait pas tort. Lorsqu’il triturait, torturait mes tétons, il pouvait obtenir de moi tout ce qu’il voulait. Je devenais comme une chiffe molle entre ses doigts experts.
Le salaud, tout en se masturbant entre mes globes, pinçait mes tétines tout en les étirant. Il serrait si fort que je ne pouvais m’empêcher de gémir. De plaisir ou de douleur, ou d’un mix des deux, je ne savais plus. Pour ne pas déroger, les premières gouttes de cyprines s’échappaient de mon clito. Elles imprégnaient la mince étoffe du string. Je sentais leur chaude humidité sur mon sexe.
Il relâcha brièvement son étreinte, le temps de sortir la ficelle du string de ma raie. Il positionna son nœud contre ma chatte frissonnante et, d’un coup, d’un seul, il s’enfonça jusqu’à la garde. Nul besoin de longue préparation, j’étais devenue très accueillante. J’aimais cette pénétration virile, mais sans b r u t a l i t é où ses couilles venaient s’encastrer entre mes lunes. Après cette « entrée en matière » sportive, son gros dard coulissa presque langoureusement. Il se retirait entièrement. J’entendais le flop de son déculage. Puis il s’enfonçait lentement, profondément excitant ma prostate. Tout en couvrant ma nuque de baisers, il poursuivait la t o r t u r e de mes tétons. L’opposition entre sa tendresse du vit et la b r u t a l i t é de ses doigts déclenchait chez moi une extrême excitation : je coulais. Il allait devoir laver le string avant de le remettre dans les affaires de Denise.
Il me repoussa et alla s’installer sur le lit : sur le dos, les fesses au ras du matelas, jambes largement écartées.
— Descends ta jupe et viens me lécher, chérie !
À quatre pattes, je m’introduisis entre ses jambes. Je débutai par un nettoyage complet de son engin qui en avait bien besoin. J’avais beau avoir fait ce qu’il fallait ce matin, il restait toujours quelques résidus. Antoine, les bras croisés derrière la tête appréciait. Loin de pousser son excitation au paroxysme, ce moment de léchouille le délassait. Sa bite bien propre, je m’en prenais à ses testicules. Je les suçotais, les aspirais, les gobais.
— Dix !
Un seul mot prononcé, mais je savais ce que ça voulait dire. J’avais dû le mordiller. Monsieur n’aimait pas que mes dents agressent ses boules.
Si lors de notre première baise, Antoine m’avait clairement fait comprendre que son cul n’était pas pour moi, il avait partiellement changé d’avis. Ma langue, et seulement ma langue pouvait, à sa demande, y avoir accès. Pour me le faire savoir, il assenait une tape sur mon crâne. Ce qu’il fit. Pour me faciliter la tâche, il releva ses jambes. Ce n’est pas ce qui me plaisait le plus. Lécher sa rosette m’excitait, mais tous ses poils – un mâle ne se rase pas – me défrisaient. Plusieurs fois rentrant à la maison, il m’en était resté un ou deux entre les dents. M’enfin je m’attelai à mon ouvrage. J’aimais sentir ses muscles anaux frémir quand je titillais sa rosette du bout de ma langue. Depuis peu, il acceptait de se faire pénétrer. Le moins qu’on puisse dire est que ça ne le laissait pas indifférent. Il tortillait aussi bien du cul que moi quand mon substitut de pénis s’enfonçait et remuait dans ses chairs.
Il ne résista guère et se releva prestement. J’eus la satisfaction de voir un peu de son jus couler de son méat. Quelque part, ça l’énervait et je savais que j’allais le payer.
— Plus dix !
— Pourquoi ?
— Et encore dix pour poser des questions stupides !
Ça l’avait vraiment énervé !
— En position, Slut !
Je m’agenouillai contre le lit, mon torse sur le drap, les mains croisées sur la nuque. Antoine roula la jupe sur ma taille, baissa le string sur mes genoux.
— Tu comptes, espèce de pouf !
Le premier coup s’abattit sur la fesse droite. Antoine avait de grandes mains, et une main droite particulièrement performante quand, il s’agissait de me fesser.
— Aïe ! Un.
— Plus cinq !
Nous avions (plutôt, il avait) établi une règle : chaque fois que je criais, c’était cinq claques de plus. Il alternait les coups de manière aléatoire : fesse droite, fesse gauche, et parfois bien au centre. Si ses doigts frappaient alors mes couilles, je devais serrer les dents pour ne pas hurler et je n’y parvenais pas toujours. D’où les bonus. Je soupçonnais fort Antoine de provoquer les évènements suivant ses envies. Il m’avait révélé mes tendances masochistes d’abord avec mes seins puis avec mes fesses. Il n’était pas rare que je jouisse lors de ces séances.
Aujourd’hui, il limita la puissance de son soufflet. Il avait d’autres envies. Malgré tout après que j’eus énoncé le nombre 35, j’avais chaud aux fesses. Il m’ordonna de me regoner » . Il se colla à moi et m’embrassa à pleine bouche. Empoignant mes globes contusionnés à pleines mains, il les malaxa sans ménagement. Si le contact du cuir froid sur ma peau enflammée avait eu un effet apaisant, ses caresses brutales engendrèrent une nouvelle douleur.
— Mais tu bandes ma salope !
Il avait raison. À ma grande confusion, je bandais. C’était une première qui allait être immédiatement suivie d’une autre. Délaissant mon cul, il tomba à mes genoux. La jupe se retrouva une nouvelle fois roulée sur mes hanches. La pauvre, elle n’avait sans doute jamais été à pareille fête. Le string n’avait pas été un rempart suffisant et mon pénis – le volume et la raideur qu’il présentait ne m’autorisait plus à la traiter de clito – avait jailli à l’air libre.
Sans hésitation aucune, Antoine l’absorba. D’abord abasourdis, nous n’étions plus du tout dans nos scénarios habituels, je me repris. Ses mains étaient revenues sur mes fesses, mais elles se montraient douces comme si le fait de pomper ma bite l’avait transformé. Nadine suçait nettement mieux que lui, mais la situation était tellement improbable qu’il m’amena très vite à la jouissance. Je crachai ma sève dans sa bouche. Il ne recula pas et avala comme une grande.
Il bandait toujours comme un malade, je voulus lui rendre la pareille. Il refusa et prononça un seul mot :
— Ton cul !
Ça urgeait manifestement. Je me retrouvai avec son dard fiché en moi jusqu’à la garde. Le temps de m’appuyer contre la cloison, il me pilonnait comme un malade. Il ne faisait pas dans la dentelle. Il m’avait cramponné par les hanches et me pistonnait furieusement comme si sa vie dépendait de cette jouissance. Il y allait si fort que mon pubis frappait parfois la paroi. Heureusement, cette charge de la brigade pas légère du tout fut brève. Dans un dernier assaut, il me colla au mur et déchargea son foutre dans mes entrailles. La giclée fut si forte, qu’une seconde j’ai pensé la voir remonter jusqu’à ma gorge. Alors que nous restions immobiles, je crus entendre un bruit. Je le repoussai.
— Tu n’as rien entendu ?
— Si, les splash de mon ventre contre tes fesses, ma pute.
— Déconne pas ! Écoute.
Nous écoutâmes. Mais rien. Direction la douche.
Lorsque les filles revinrent avec des pizzas pour le repas, nous étions benoîtement installés sur les transats à siroter un whisky-coca. L’après-midi, nous éliminâmes nos calories excédentaires dans une longue randonnée. Aussi le repas du soir expédié, la soirée ne traîna guère et nous regagnâmes nos chambres. Au moment où je me couchai, nu comme à mon habitude, Nadine, avec un grand sourire ironique, elle me demanda :
— Tu n’as pas gardé ton petit string noir. Tu étais pourtant super mignonne dedans.
Le ciel me tomba sur la tête. Je restai là statufié au bord du lit. Elle savait. Mais comment ? Comment pouvait-elle savoir ? Certainement pas Antoine qui lui avait dit. Y ‘avait pas de voisins proches. Déclic. J’avais bien entendu un bruit. Elle nous avait vus. Et Denise ?
— Si tu te voyais mon pauvre chéri. On peut voir les questions qui se battent dans ton cerveau, ricana-t-elle.
En prime, elle se fichait de ma gueule. Elle rigolait comme un bossu. Sa réaction me stupéfiait. Même pas en colère, non ! Elle avait l’air satisfaite du bon tour qu’elle me jouait. J’avais pas le choix.
— L’heure des explications a sonné, dis-je en m’asseyant sur le lit.
— Je ne suis pas complètement débile, mon chéri. Le spectacle que vous nous avez offert vaut toutes les explications.
— Vous ? Denise était avec toi ?
— Évidemment.
— Ça n’a pas l’air de te mettre en colère ?
— Avec une gonzesse, ça m’aurait moins plu. J’sais que t’as déjà donné des coups de canifs dans le contrat…
— Moi…
— Stop ! Je ne suis pas naïve. Ça m’est arrivé aussi. Mais entre savoir et voir, y’a une grosse différence.
— T’as eu des amants ?
— Ben comme toi des maîtresses et comme toi rien de sérieux. Toi qui prêches l’égalité homme/femme, je vois pas ce que tu aurais à redire.
Je découvrais Nadine sous un nouveau jour. Vous pouvez vivre avec quelqu’un depuis plus de 20 ans et vous ne le connaissez pas vraiment. Peut-être aussi pour cela que nous nous entendions aussi bien au bout de toutes ces années, nous pouvions encore nous surprendre.
— T’as raison comme d’habitude. Donc t’as pas eu envie de me crier dessus.
— J’ai dû retenir Denise qui voulait vous rentrer dedans. Remarque, pas longtemps, car le spectacle était trop prenant
— Ah ?
— Ben oui, t’imagine un porno en live.
— Sympa !
— Ça va ! Tu vas pas jouer les vierges effarouchées. Surtout qu’avec ce qu’on a vu, vierge tu l’es plus, ricana-t-elle de plus belle.
— Et pan pour moi !
— Oui d’ailleurs le pan-pan-cucul, t’as bien aimé ! En fait, Denise avait oublié sa carte bleue et j’en ai profité pour aller au petit coin.
— On aurait dû entendre la voiture.
— Sauf que Denise ne voulait pas manœuvrer et elle s’est garée dans la rue.
— On peut pas tout prévoir
— En entrant, on a entendu des bruits très identifiables. Alors on s’est approchés en catimini. Quand on est arrivés, il était en train de te ramoner grave ! T’étais trop chou avec ta petite jupe en cuir roulée sur tes hanches. C’est à ce moment que Denise a failli péter un câble. Heureusement, tes gémissements ont couvert ses cris.
— Son of bitch ! Je vais le tuer! Qui c’est, c’tte salope avec ma jupe ?
Je lui plaquai la main sur la bouche.
— C’est Luis, c’est mon mari.
Elle me regarda avec des yeux où se reflétait une grande confusion. Du doigt je lui indiquai la tête de celle qui se faisait baiser. À cet instant, Antoine repoussa Luis et prononça ces paroles historiques :
— Descends ta jupe et viens me lécher, chérie !
Nous nous regardâmes, interloquées. Sans qu’un mot soit échangé, un sourire de connivence naquit lentement sur nos lèvres. Nous allions bien nous marrer. Nous nous sommes installées à croupetons, serrées l’une contre l’autre pour ne rien perdre du show de nos maris. Nous n’en avons rien perdu sauf que nous n’avions pas prévu certaines conséquences. Au début, nous échangions des regards d’incompréhension. Ils se transformèrent en regards amusés lors de la fessée. Je me penchai vers Denise et lui glissai au creux de l’oreille.
— Ce n’est rien à côté de celle que je vais lui administrer très bientôt.
— Je veux voir, me répondit-elle.
En se penchant, elle m’avait offert, son t-shirt bâillant, une vision panoramique sur son buste. Elle avait une poitrine magnifique. J’en étais un peu jalouse. Avec mes deux œufs sur le plat, je ne faisais pas le poids. Dans l’instant, ses nénés se soulevaient sur un rythme un peu bizarre, ses tétons tendaient le soutif. Cette scène flirtant avec le sm ne la laissait pas indifférente. Moi non plus d’ailleurs, ma petite culotte s’humidifiait.
Quand Antoine tomba à genoux pour sucer mon mec, je n’eus plus aucun doute. Sa respiration devenait haletante, sa main s’était crispée sur mon avant-bras. L’autre avait plongé sous sa jupe. Elle allait nous faire repérer. Je la tirai vers la sortie. Elle résista un peu, mais par gestes, je réussis à lui faire comprendre son état et ce qui allait se produire.
Nous traversâmes précautionneusement le salon et la cuisine. Une fois à la voiture, Denise démarra sans dire un mot. Au lieu de prendre la direction de Nice, elle partit vers la montagne.
— C’est quoi l’histoire ?
— Y’ pas de raisons qu’ils soient les seuls à prendre leurs pieds !
Elle tourna dans un chemin forestier. Je compris où elle nous emmenait : la petite clairière que nous avions traversée quelques jours auparavant. J’étais pas sûre de comprendre les intentions de mon amie. Et si je les avais bien comprises, je n’étais pas sûre d’être partante. Je n’avais jamais été attirée par les filles. D’un autre côté, ce pouvait être une vengeance pas du tout désagréable et la séance que je venais devoir m’avait bien excitée. Alors !
La voie carrossable se terminait après un virage serré pour se transformer en sentier étroit. Denise stoppa la voiture, récupéra un plaid à l’arrière et s’engagea entre les arbres. Elle se retourna. Me voyant encore figée sur mon siège, elle m’apostropha :
— Allez viens ! C’est notre tour.
Mon bas-ventre me murmura : « vas-y ». Quelques centaines de mètres plus loin, bien dissimulée se trouvait une petite aire dégagée propice aux étreintes cachées. Antoine avait déliré sur la végétation piétinée disant que « ça avait dû baiser grave pour piler l’herbe comme ça ». Quand j’arrivais, elle avait déjà étendu la couverture, ôté sa culotte et enroulé sa jupe comme Luis. Sa chatte luisant de cyprine était surmontée d’une toison se limitant à un trait de poils bruns bien taillés. J’éclatai de rire.
— Tu me trouves ridicule, c’est ça ?
— Non pas du tout !
Pour le lui prouver, je m’approchai, et posai un doigt sur son restant de pilosité.
— Je parie que c’est Antoine qui t’as demandé de tailler ton minou.
— Luis t’a demandé la même chose ?
— Gagné !
Je levai ma robe, baissai mon string et lui montrai ma flèche dorée.
— Huuum ! Tu as une jolie petite mangue bien juteuse. Toi aussi ça t ‘a excitée, j’ai bien vu.
Elle plaça ses mains sur mes épaules. D’une douce pression, elle me fit comprendre que je devais m’agenouiller. On savait faire ça dans la famille. Plutôt que de me taler les genoux, je m’accroupis sur mes talons. Sa main droite s’était déplacée derrière ma nuque et poussa ma tête ver sa féminité.
— Viens, Nadine ! J’en peux plus ! Fais comme ton petit mari ! Lèche-moi.
Je résistai quelques secondes, mais la curiosité sinon l’envie l’emporta. Je joue un peu les hypocrites, j’étais excitée et tout aurait été bon pour satisfaire cette excitation. J’appliquai mes mains sur la face intérieure de ses cuisses et l’obligeai à s’ouvrir. J’avançai suffisamment ma tête, je la penchai en arrière pour qu’elle se retrouve à l’aplomb de son sexe. Position inconfortable, mais stratégique. Je promenai d’abord le bout de ma langue tout du long de sa fente. Démarrant au contact de son clito, elle atteignait en bout de course son entrefesses. Elle se montrait inquisitrice aux points de départ et d’arrivée. Sans surprise, chaque fois que ma langue flirtait avec son bouton, elle sursautait. Par contre lorsqu’elle insistait sur le périnée, une légère plainte venait troubler le chant des oiseaux. Comme moi, elle aimait ça. Elle aimait tellement qu’elle avait empoigné ses fesses et les ouvrait pour que ma langue aille plus loin.
À f o r c e de gesticuler, elle en avait oublié les règles de l’équilibre. Elle glissa, mon nez entra sans frapper dans sa vulve et son cul dénudé fit connaissance brutalement avec la fraîcheur du sol. Je l’aidai à se relever. Il nous fallait trouver une position moins périlleuse. Sans que je lui demande quoique ce soit, elle s’allongea sur le dos, remonta ses cuisses serrées sur sa poitrine. J’avais ainsi un accès privilégié à ses lieux de plaisir. Je décidai d’alterner les attouchements sur son sexe et vers son petit trou. Plus ma langue approchait de son anus, plus sa plainte s’intensifiait. J’osai enfin le titiller. J’écartai bien ses globes et tentai, du bout de la langue, de pénétrer son entrée de service. La réaction fut instantanée. Sa main plongea entre ses cuisses et se branla férocement le clito. En quelques secondes tout fut terminé. Sa plainte s’interrompit brusquement, son corps se cabra brièvement. Elle s’affala sur le plaid.
Je me glissai à ses côtés. Je voulus la prendre dans mes bras. Elle se débattit me tourna franchement le dos. Qu’est-ce qui lui prenait ? Soudain, des reniflements caractéristiques montèrent de sa gorge : elle s a n g lotait. Le retour à la réalité s’accomplissait dans la douleur. Elle s’était vengée. Mais rendre la pareille à Antoine n’avait pas effacé sa peine, sa douleur. Les pleurs avaient sapé sa résistance. Sans aucun effort, je la fis basculer et l’attirai contre moi. Je la câlinai, baisai son visage, léchai ses larmes et lui murmurai des mots de réconfort.
— Ce n’est rien, ma poulette. Pense que tu as bien joui. Tu lui as bien rendu la monnaie de sa pièce. On s’est bien éclaté puis nos deux mecs qui baisaient c’était plutôt cool.
Ses larmes s’étaient taries, mais je continuais à lui prodiguer moult caresses d’apaisement. Elle respirait plus calmement, son corps s’alanguissait, ses mains m’enlaçaient. Je continuais de broder sur les mêmes thèmes quand, tout à coup, elle éclata de rire.
— Tu n’y es pas du tout Nadine ! T’as tout faux !
Je me reculai, éberluée. Elle passa tendrement la main sur ma joue, remontant ensuite dans ma chevelure.
— Les voir baiser, c’était génial ! Voir mon macho de mari sucer Luis, c’était divin. Si tu savais ce que j’en ai marre d’Antoine, sa grosse queue et ses manières de macho.
— Alors pourquoi ces pleurs ?
— Parce que…, balbutia-t-elle.
Elle avait retrouvé tout son sérieux. Les mots avaient du mal à sortir.
— Parce qu’il y a longtemps que… enfin tu m’attires beaucoup et j’aurais pas voulu que ça se passe de cette manière. J’aurais voulu qu’on se découvre, qu’on…
— Ben on aura tout le temps et en plus on tient nos maris par le bout de la queue
— Tu as raison. Et on sera en retard pour le repas !
— On leur ramènera des pizzas !
Ses lèvres vinrent chercher les miennes et nous partîmes à la découverte.
— Ben vous ne vous êtes emmerdées non plus ! Tu me racontes.
— Désolé, ça, c’est entre Denise et moi. La seule chose que je peux te dire que c’était phénoménal.
Le récit de ma femme avait réveillé nos libidos. Nous avions chacun la main sur notre sexe. Je m’apprêtais à l’entreprendre de façon traditionnelle quand elle s’assit sur le lit, laissant pendre ses jambes ouvertes à l’extérieur. Elle amena ses fesses au ras du matelas. La garce, elle se fichait de ma figure. Ses paroles ne m’étonnèrent guère.
— Descends ta jupe et viens me lécher, chéri! C’est ballot, t’en as pas ! Bah, on fera sans ! Allez chéri, continua-t-elle en m’indiquant le sommet de son triangle.
Je ne me fis pas prier. Je retrouvai la position que j’avais ce matin avec Antoine. J’enfouis mon visage entre les cuisses de Nadine. Je me régalai de la cyprine qui sourdait au bas de sa vulve. J’eus un mauvais pressentiment. J’asséchai rapidement ce haut lieu de son plaisir. Fait tout à fait inhabituel. J’escaladai sa vulve pointant ma langue entre ses lèvres avant d’atteindre son clitounet. Pas de sursaut de son bassin, pas de bruits de bouche dont elle était coutumière lorsque je titillais son bouton. Plutôt une crispation de ses cuisses contre mes oreilles.
Je relevai la tête. Elle me regarda, les yeux dans le vague, perdue.
— Je suis vraiment désolée, mais ça ne me fait rien. Au contraire, ça m’a coupé l’envie. Je trouve ta langue d’une maladresse…
Ça marqua le début de la fin. La situation se précisa les jours suivants. Nos femmes partaient le matin, revenaient (quand elles revenaient) le soir. Jusqu’au bouquet final, le second lundi, après un week-end pesant, elles décidèrent de finir leurs vacances loin de nous.
On aurait pu croire que nous allions en profiter. Nadine et moi nous étions expliquées franchement. Il nous fallut reconnaître que notre amour avait vécu. Notre complicité restait intacte et nous avons parlé de l’amour-passion qu’elle partageait avec Denise, de leurs envies, de mes envies. Pour Antoine cela se passa différemment. La discussion avec sa femme se révéla impossible, de son fait. Qu’il couche avec moi, cela lui convenait. Que Denise et Nadine baisent ensemble, cela l’enchantait beaucoup moins. Qu’elles veuillent afficher leur amour cela il ne le supporta pas. Atteint dans son orgueil de mâle, il prit très mal la chose. Après le départ de filles, nos séances qui tournèrent au S.M. hard lui servaient de défouloir. Toute sa colère, sa haine retombaient sur moi. Le jour où, il dépassa les limites, je me tirai à mon tour.
Épilogue : six mois plus tard.
Nadine et Denise vivent ensemble. Elles ont emménagé dans un appartement dans un petit village entre Châteauneuf et Givors où Nadine a obtenu que sa banque la mute. Tous les trois, nous nous revoyons régulièrement. Nous faisons même parfois lit commun en tout bien tout honneur. Nadine entre son ex et sa dulcinée.
Nous n’avons pas cru bon de divorcer. Au contraire de Denise qui a obtenu un divorce pour cruauté mentale. Antoine la harcelait, les menaçait. Une mesure d’éloignement a même été prononcée contre lui. Il a complètement disparu de ma vie aussi. Pour prouver sa virilité, il s’est dégotté une petite minette de 30 ans qui le mène par le bout du nez. La semaine dernière, Denise s’est tapé un délire après un repas trop arrosé : débarquer chez Antoine et se présenter à sa gonzesse.
— Moi c’est Denise, l’ex d’Antoine. Elle, c’est Nadine ma compagne. Lui, c’est Luis, l’ex de Nadine et l’amant d’Antoine.
Nous nous sommes payé un bon fou rire, car nous n’imaginions pas une seule seconde qu’il avait raconté à la nouvelle que sa femme s’était tirée avec une nana, parce que, entre autres choses, elle l’avait surpris en train, de me sucer.
Je suis heureux que notre complicité avec Nadine perdure, mieux qu’elle et Denise m’aient inclus dans leur vie. Cependant, je vis seul dans une grande maison. Aucune envie de trouver une nouvelle compagne. Je me suis fait entièrement épiler. Je passe de plus de temps habillée en femme. Finalement à l’ère d’internet et des grandes enseignes acheter des fringues même coquines ne pose plus de problème.
À ce jour, seules, Denise et Nadine connaissent mon secret, mais je commence à naviguer sur des sites spécialisés…
Domi Dupon
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